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samedi 23 avril 2011

Le comandant de gendarmerie de Bakel, MBaye, au coeur du climat malsain de Bakel

Jamais, de mémoire de sénégalais, dans le département de Bakel, gendarme n'a aussi défrayé la chronique dans cette ville et ses environs.

Après l'assassinat gratuite d'un repris de justice (Aladji Konaté)  par les hommes en uniforme du commandant MBaye (sous son commandement), un innocent, un humble citoyen, cousin de la victime, Monsieur Dibril KONATÉ, vit actuellement à Bakel un vrai calvaire : menaces de mort, intimidations, coups de fil insultants et menaçants qui émanent de la part du commandant et de ses hommes, l'invitant à cesser tout ce tapage médiatique autour d'une affaire qui est désormais devenue internationale, puisque les grandes ONG de défense des Droits de l'Homme se sont saisis de l'affaire et comptent la porter à la connaissance des plus hautes autorités nationales, afin que toutes les conséquences soient tirées de cette affaire : arrestation et enquête immédiate des gendarmes incriminés et mutation pure et simple du commandant Mbaye (avec plainte en justice contre lui pour ses pratiques illégales dans le département). 

POur savoir de quoi il s'agit, il faut lire les articles suivants : 




Tout ceci doit cesser et pour cela, il faut que le préfet de Bakel, Mactar Cissé, le président du tribunal départemental de Bakel Mamadou Diallo et le commandant de gendarmerie de Bakel Mbaye dégagent (à la tunisienne) et soient mutés ailleurs, afin que règne un climat serein, un véritable respect des lois de notre chère République. Rien n'est et ne sera plus comme avant. Les populations en ont marre et souffrent de l'absence de respect de leurs droits dans ce département. 

Une autre ère commence dans soninkara (chez les soninkés) : celui de la défense de leurs droits et de l'exigence de  respect.

Désormais, la peur doit changer de camp et elle va changer de camp.

Les dés sont jetés et Dieu ne joue pas aux dés.

Le maire, le préfet, le gendarme, le juge et 8 innocents

Le département de Bakel est devenu, un peu comme Naples ou la Sicile, une zone de non droit, une zone d'anarchie institutionnelle où, la corruption, l'intimidation et la transgression de la loi sont érigées en règle et en arme aux mains d'une petite poignée d'individus qui, pour assoir leur "puissance", use de corruption auprès de la gendarmerie, le président du tribunal et tout ceci, sous l'oeil bienveillant et aprobateur du préfet de département.
Cette même gendarmerie, se sentant intouchable, tels les parrains mafieux des années 50, sont devenus de vértables hors la loi, instaurant leurs propres lois titaniques qui pèsent sur les citoyens qui se sentent abandonnés par les plus hautes autorités  du pays. l'exemple le plus récent, est l'horrible assassinat de Aladji KONATÉhttp://www.seneweb.com/news/Societe/photo-le-jeune-laadji-konate-arrete-et-battu-a-mort-par-les-gendarmes-a-bakel_n_43852.html ), assassinat qui a fait le tour du monde et qui va devenir, l'élément déclencheur qui va dévoiler de fond en comble, les pratiques ignobles, viles à Bakel et dans le reste de son département. Mais bien avant cela, il y a eu d'autres affaires dont la plus grave reste l'emprisonnement arbitraire de 8 vieux notables Diawara ( http://www.bakelinfo.com/commune-de-diawara/820-climat-de-terreur-dans-la-commune-rurale-de-diawara-le-maire-fait-emprisonner-les-notables-de-la-ville.html ) sur simple demande (parodie de plainte). Suite à une plainte du maire de Diawara (un illettré, un analphabète, un paranoïaque qui tremble devant la moindre critique, qui souffre d'un narcissisme maladif qui le ronge) du 21 mars, dès le 23 mars, les 8 braves vieillards (âgés de 60 à 83 ans) sont convoqués à la gendarmerie par le commandant Mbaye (qui sème la terreur dans le département et qui fait emprisonner les "ennemis" de ses amis pour un rien, avec l'implication et la complicité actives du président du tribunal départemental de Bakel un certain Mamadou Diallo, qui fera l'objet d'un article intéressant dans les jours à venir, inchallah). Ce qui est bizarre, ces gens qui sont censés faire respecter la loi, l'autorité judiciaire, ne font même pas semblant : ils le font au grand jour et dans une totale impunité absolue et constante. Ces 8 braves vieillards sont alors convoqués le mercredi 23 mars 2011, les sbires du commandant Mbaye (grand maître et chef du milieu du département bakélois) les saucissonnent et après le passage de tout le monde, ils sont mis en garde à vue et attendent de passer le jour-même devant le fameux président du tribunal départemental de Bakel. Là ou le bat blesse, c'est que tout ceci a été fait sans la moindre enquête, sans la moindre confrontation, absolument rien. Donc au Sénégal, on peut-on être emprisonné sur simple demande d'une personne qui a le pouvoir, en l'occurrence sur simple demande d'un petit maître fantoche insignifiant dans sa propre commune ? Elle est où la justice, le respect du droit et de la dignité de chaque citoyen ? Ce juge, ce gendarme et ce préfet de Bakel Macar Cissé sont-ils réellement des représentants de notre cher État (le Sénégal, notre bien aimé pays) ou juste des personnages qui sont en train d'installer un système à l'italienne pour faire la pluie et le mauvais temps (le bau temps n'existe plus dans Bakel et ses environs avec ces individus) dans le département, en se servant de leur pouvoir ? Comment peut-on être le président d'un tribunal départemental, dans notre pays et faire un simulacre de justice juste pour intimider et servir ses amis dans une totale illégalité ? Même à l'époque du Goulag, on enquêtait (au moins on faisait semblant d'enquêter), mais jamais on n'agissait de la sorte et c'est peu dire en avançant cela. Ce juge, le soir, arrive-t-il à bien dormir ? Arrive-t-il à faire de doux rêves ? Parce qu'envoyer des pauvres citoyens en prison sans enquête, sans chercher à situer où se trouve la vérité, pour un juge c'est plus que grave : c'est une faute professionnelle, une forfaiture et passible de poursuites judiciaires (il appartient aux intéressés d'envisager cette possibilité avec l'appui des ONG organisations de défense des Droits de l'Homme), car après tout le Sénégal est encore un pays de droit. Franchement, vous imaginez 8 vieillards, grabataires, qui se tiennent à peine sur leur canne, venir tuer le maire (à la silhouette imposante, d'une apparence grasse) de Diawara et son équipe (composé de jeunes vigoureux dont l'âge moyen est d'environ 27 ans) ? Le plus cocasse, c'est que le maire, dans sa plainte, dit que quelqu'un lui a rapporté que ces 8 vieux auraient dit en grande réunion du Chef du Village de Diawara (réunion ouverte où tout le village est invité, le maire n'était pas présent à cette réunion) qu'ils allaient venir lui casser la gueule dans sa mairie et de casser toute la mairie, ainsi que ses murs. Vous vous rendez compte de la grossièreté de la situation ? Et c'est sur cette base-là que le commandant de gendarmerie, le juge Mamadou Diallo (du tribunal de Bakel) avec la complicité du préfet Mactar Cissé,  sur une simple demande du maire de Diawara, ont décidé d'emprisonner ces pauvres gens sans le moindre respect  leurs droits, dans une totale ignorance volontaire des procédures judiciaires, de bon sens tout simplement. 

Un prochain article verra le jour sur la manière dont deux individus (le maire et un certain Killé Sakho qui fera à lui seul, dans les prochains jours, l'objet d'un numéro spécial, il est un roman noir à lui tout seul) à Diawara ont réussi à se mettre dans leur poche le commandant de gendarmerie de Bakel et le président du tribunal départemental de Bakel, pour intimider, humilier toutes les personnes qui refusent leur diktat, contre toute personne qui réclame de l'équité et qui joue simplement et naturellement son rôle de citoyen dans la gestion des affaires de la cité.

Désormais, et cela doit être su, le soninké des années 80 est diamétralment opposé sur tous les plans au soninké du 21ème siècle : il est émancipé, il est instruit, il connait et sait ses droits, il sait surtout les revendiquer et les défendre. Mais apparemment, ce changement de mentalité, cette révolution échappe au maire insignifiant de Diawara et à certaines autorités actuelles du département Bakel.

NB : Un des prochains articles traitera le cas du maire actuel de Diawara : depuis qu'il était dans l'opposition pendant le mandat de l'ancien maire, jusqu'à aujourd'hui, ses pratiques et ses moindres faits et gestes seront dévoilés, avec des preuves à l'appui. 

Une autre ère commence dans soninkara (chez les soninkés) : celui de la défense de leurs droits et de l'exigence de  respect.


Désormais, la peur doit changer de camp et elle va changer de camp.
Les dés sont jetés et Dieu ne joue pas aux dés.

mercredi 20 avril 2011

Le respect de la loi est absent à Diawara et dans le département de Bakel

Ce blog se veut un espace de dénonciation de l'anarchie qui règne dans le département de Bakel, une sorte de loi de la jungle : bafouer les lois et les droits élémentaires du citoyen pour asseoir une certaine suprématie de la peur, de la terreur, de l'intimidation. En cela, ce blog se fixe comme objectif de dénoncer tout cela et d'apporter la vérité aux oreilles de celles et de ceux qui font autorité au sommet de l'État du Sénégal qui, jusqu'à preuve du contraire, est et reste un État de droit, de liberté d'expression.

Vous ne serez pas déçu : tout sera déballé, dénoncé, analysé, critiqué, et ce, dans le respect de la loi, de l'individu et de sa dignité. Mais il ne se dira que la vérité, rien que la vérité et seulement la vérité.

Les personnes qui ne respectent pas les lois de la République, les personnes qui sont corrompues et qui se laissent influencer (conséquence directe de cette corruption), doivent désormais trembler, bien trembler, car la peur changera de camp et elle va changer de camp. Elles doivent se sentir en insécurité morale, émotionnelle et institutionnelle partout où elles se trouvent.

Les dés sont jetés et Dieu ne joue pas aux dés.